Le
présent article va faire l’analyse de la problématique de l’addiction aux jeux
d’argent qui cause le suicide de plus joueurs.
En
fait, nous allons tenter de répondre a
trois questions : Qui sont-ils ?
Quel est l’amplitude de ce problème au Québec ? et Quelle solution
pourrait être envisageable ?
En
premier lieux, il y a trois types de joueurs compulsifs :le joueur
récréatif(aucun problème lorsqu’il joue), le joueur problématique(il a
certaines périodes liés au jeu mais sans conséquence) et le joueur
pathologique(qui a un cumul de problème importants causés par une dépendance
aux jeux).
Pour
bien comprendre l’expression <<jeu pathologique>> signifie un
trouble de l’impulsion. Parmi tous ceux qui s’adonnent aux jeux de hasards et
d’argents, certains développent une pathologie (une addiction) s’expliquant par
une impulsion incontrôlable à miser de l’argent.
Les
joueurs pathologiques, qui représentent 0.3% de la population au Québec, sont
définis par le ministère de la santé du Nouveau-Brunswick par ces
caractéristiques;
-Ils
sont souvent préoccupés par le jeu ou par des moyens d'obtenir de l'argent en
vue de jouer.
-Ils
jouent des sommes plus importantes et pendantes des périodes plus longues que
prévues.
-
Ils ont besoin d'augmenter l'importance et la fréquence de la mise afin
d'obtenir le sentiment d'exaltation recherché.
-Ils
éprouvent de la nervosité et de l'irritabilité lorsqu'elle ne peut pas jouer.
-Ils
perdent de l'argent très souvent au jeu, mais retourne joué le lendemain afin
de gagner l'argent perdu (la poursuite).
-Ils
essaient régulièrement de réduire les périodes de jeu ou de cesser complètement
de jouer.
-Ils
jouent fréquemment lorsqu’ils doivent rencontrer des exigences sociales ou
professionnelles.
-
Ils renoncent à des activités sociales, professionnelles ou récréatives importantes
pour jouer.
-
Ils continuent de jouer malgré leur incapacité de payer les dettes accumulées,
ou malgré les problèmes sociaux, légaux ou professionnels sérieux qu'elle doit
affronter même si elle est consciente qu'ils sont amplifiés par le jeu.
Les
principales caractéristiques qui résultent de cette description est que les
joueurs pathologiques se sent bien quand ils jouent. Le jeu semble lui procurer
un sentiment de confiance.
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